Grace à la mise en place d’un gouvernail d’élevage de poulets locaux, la filiale avicole au Togo connait une régulation des méthodes et techniques d’élevage qui soutient activement la dynamique que connait le secteur et qui ouvre un débouché à d’autre type d’avicultures notamment celui de l’élevage des poulets de chair.
<h2> apport du référentiel et projection des recettes /h2>
Etant un pays dont l’agriculture représente plus que 40% du PIB national, la filiale avicole obtient plus de poids aux yeux des candidats qui envisagent d’y investir de la patience avant d’y apporter de l’argent.
Le processus de l’élevage n’est pourtant pas si compliqué lorsqu’il est bien tenu, en effet, passant d’une activité de subsistance, aujourd’hui l’élevage du poulet de chair est considéré comme une véritable source de richesse lorsqu’il est conduit techniquement dans des conditions propices à la croissance des poulets. Dans cette optique, le référentiel technico-économique remplit bien une mission cruciale dans la formation sur les techniques et méthodes favorables à la tenue de tels business.
Voyant les recettes à la source de cette activité, on peut facilement aujourd’hui espérer un gain moyen de 2,8 millions de FCFA à l’issue de la deuxième année de production pour une moyenne de 60 têtes de poules au départ, une projection publiée sur le référentiel technico-économique produit par l’institut de conseil et d’appui technique (ICAT).
<h2>Aide étatiques et subventions ?</h2>
Par le biais de la banque mondiale, et à travers le PASA, le gouvernement togolais a su donner une dimension entrepreneuriale à un secteur jusqu’à quelques années encore régis d’une façon domestique.
Ce programme d’aide dans sa deuxième phase a permis à plus de 300 personnes de bénéficier d’une subvention étatique atteignant 3.500.000 FCFA par éleveur, un coup de pouce révélateur de la volonté de moderniser le secteur, de le rendre capable d’alimenter d’une manière concrète le marché local.
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